Il y a huit ans, l’Etat a dégagé une enveloppe de 3,4 milliards de dinars pour protéger une douzaine de villes de la wilaya de Boumerdès contre les inondations.
Lancée par le ministère de l’Environnement et des Energies renouvelables, cette campagne nationale, où la société civile s’est impliquée en force, a été initiée suite à la survenue du choléra et à la «remise en cause» de la notion de propreté chez les Algériens.
Comment expliquer l’absence d’hygiène dans la majorité de nos villes ? Quelles significations faut-il attribuer à la banalité de la saleté dans nos espaces de vie ?