
Raphaëlle Branche. Spécialiste de l’étude des violences en situation coloniale : «Il faut faire connaître les travaux des historiens et donner aux gens les moyens de les comprendre»
«Pour certains historiens, dont je suis, les personnes qui livrent leurs souvenirs sont de précieuses sources, des voix qui permettent d’éclairer des pans de l’histoire