Tribunal administratif d’Alger : Dissolution de RAJ après 28 ans d’activité
Le tribunal administratif d’Alger a rendu, aujourd’hui mercredi 13 octobre, sa décision dans l’affaire RAJ. L’association est dissoute après 28 ans d’existence.
Le tribunal administratif d’Alger a rendu, aujourd’hui mercredi 13 octobre, sa décision dans l’affaire RAJ. L’association est dissoute après 28 ans d’existence.
Dans l’entretien qu’il a accordé à El Watan, le président du RAJ revient sur les objectifs assignés à la rencontre nationale de «concertation» du hirak à laquelle il a appelé. «Aujourd’hui, nous avons plus que jamais besoin de capitaliser les deux ans du mouvement populaire, ...
Le détenu Abdallah Benaoum restera plus de neuf mois en prison alors qu’il devait retrouver la liberté jeudi dernier, après avoir purgé sa peine d’un an de prison ferme.
L'association RAJ, qui subit depuis le début du hirak des intimidations et un harcèlement sans précédent, se joint à la grève et appelle, pour la réussite de ce rendez-vous, à une forte mobilisation dans les différentes secteurs.
Dans une déclaration publiée quelques minutes après l’arrestation de Abdelouhab Fersaoui, l’association Raj a dénoncé l’attitude «condamnable et scandaleuse d’un régime autiste et aveugle», usant du harcèlement et de l’intimidation pour faire taire toute voix discordante.
Abdelouhab Fersaoui, président de l’association Rassemblement action jeunesse (RAJ) a été interpellé, aujourd’hui jeudi à Alger, par les services de sécurité.
Cinq militants de l’association Rassemblement Action jeunesse (RAJ) ont été placés, aujourd’hui dimanche, sous mandat de dépôt par le juge d’instruction près le tribunal Sidi M’hamed à Alger.
Cinq militants du Rassemblement Action Jeunesse ( RAJ) ont été arrêté, aujourd'hui vendredi à Alger, par les service de sécurité.
L’association RAJ serait-elle dans le collimateur des autorités et des services de sécurité ? Pourquoi dérange-t-elle à ce point ? Depuis le début du mouvement populaire, le 22 février dernier, l’organisation des jeunes semble soumise à un régime de surveillance intensive.
Le procès des détenus d’opinion incarcérés depuis le 23 juin dernier se poursuit ce dimanche 29 septembre au tribunal de Sidi M’hamed.