Le détenu Abdallah Benaoum restera plus de neuf mois en prison alors qu’il devait retrouver la liberté jeudi dernier, après avoir purgé sa peine d’un an de prison ferme.
L'association RAJ, qui subit depuis le début du hirak des intimidations et un harcèlement sans précédent, se joint à la grève et appelle, pour la réussite de ce rendez-vous, à une forte mobilisation dans les différentes secteurs.
Dans une déclaration publiée quelques minutes après l’arrestation de Abdelouhab Fersaoui, l’association Raj a dénoncé l’attitude «condamnable et scandaleuse d’un régime autiste et aveugle», usant du harcèlement et de l’intimidation pour faire taire toute voix discordante.
Abdelouhab Fersaoui, président de l’association Rassemblement action jeunesse (RAJ) a été interpellé, aujourd’hui jeudi à Alger, par les services de sécurité.
Cinq militants de l’association Rassemblement Action jeunesse (RAJ) ont été placés, aujourd’hui dimanche, sous mandat de dépôt par le juge d’instruction près le tribunal Sidi M’hamed à Alger.
L’association RAJ serait-elle dans le collimateur des autorités et des services de sécurité ? Pourquoi dérange-t-elle à ce point ? Depuis le début du mouvement populaire, le 22 février dernier, l’organisation des jeunes semble soumise à un régime de surveillance intensive.
Abbas Sami, Khiredine Medjani, Bachir Arhab, Wafi Tigrine, Mohamed Semallah ainsi qu’une dizaine d'autres manifestants arrêtés hier pendant la marche à Alger, seront présentés demain dimanche, devant le procureur du tribunal de Sidi M'hamed.
Après avoir interdit l’organisation de l’université d’été du Rassemblement Actions, Jeunesse (RAJ) dans un camp de vacances à Tichy, les autorités ont ordonné d’empêcher l’association de tenir, dans la matinée de jeudi, son activité qu’elle a voulu transformer en une université «populaire» sur une place ...