C’est devenu un rituel depuis quelques années. Chaque travail fourni par des médias étrangers, notamment français, sur l’Algérie suscite une réaction immédiate des autorités. Et souvent, des polémiques naissent et durent quelque temps avant de s’estomper en attendant «une nouvelle tempête».
Des centaines d’étudiants ont battu le pavé, aujourd’hui, à Alger. Ils réclament, pour le 20e mardi de suite, le départ du pouvoir en place et l’instauration d’un Etat démocratique.
Une vile campagne de dénigrement a ciblé le moudjahid Lakhdar Bouregaâ depuis l’annonce, samedi dernier, par ses proches, de son arrestation. Les attaques se sont multipliées par la suite, lorsque des chaînes de télévision, dont la télévision publique, ont tenté de remettre en cause son ...
Des dizaines de travailleurs du groupe de médias « Temps nouveau » ont manifesté, aujourd’hui mercredi devant la maison de la presse Tahar Djaout à Alger, pour dénoncer la suppression des emplois et réclamer leurs droits.
Arrestations à l’emporte-pièce, médias lourds bâillonnés, journalistes sanctionnés, débats publics empêchés, conférences interdites, violences verbales contre tous ceux qui refusent la feuille de route d’AGS…
Les médias publics ne dérogent pas à la règle… «non écrite». Fermées aux acteurs politiques de l’opposition, toutes tendances confondues, depuis des années, les chaînes de télévision et radio nationales restent visiblement sur la même ligne. Alors que la période préélectorale vient d’être lancée et ...
La disposition envisagée à travers l’avant-projet de loi de finances 2019, prévoyant des restrictions sur les dépenses de promotion et de publicité, constitue «une aberration fiscale, aussi bien pour les médias que pour les entreprises».
Une disposition contenue dans l'avant-projet de loi de finances 2019, en discussion au niveau du gouvernement, limite à 2,5% du chiffre d'affaires lié à la promotion déductible sur le plan fiscal. Quel serait l'impact de cette limitation sur le marché publicitaire ?