Très affaibli, Djamel Ould Abbès est ramené en milieu d’après-midi pour être entendu comme témoin. Dès son entrée dans la salle, il enlace son fils et laisse couler des larmes qui glacent l’assistance.
Au lendemain de sa première intervention faite à Oran, dans laquelle il avait évoqué, une nouvelle fois, la nécessité d’organiser une élection présidentielle «dans les plus brefs délais», le vice-ministre de la Défense Nationale, est revenu sur la îssaba, dont, d’après lui, les objectifs ont ...